1:02:53 Nous en sommes à la période de questions et de discussion. Merci Andrew de vous être joint à nous. Voulez-vous commencer? J'ai aussi une liste de questions. 1:03:06 Bien sûr. Merci Anna. Je termine et j'aurai passé en revue les questions affichées. Continuez à poser des questions; nous avons aussi reçu d'autres questions pour les panélistes. Je demanderais aux panélistes de rétablir le son à des moments précis et ils pourront partager l'écran ou non 1:03:28 s'ils répondent. Une des questions concerne les visites et les cliniques virtuelles, et la façon dont les résidents sont évalués et observés dans ce genre d'environnement virtuel; que ce soit par téléphone ou au moyen d'une plateforme. Je serais curieux de voir comment les panélistes réagissent à ce genre d'évaluation virtuelle. Je commencerais peut-être avec Karen pour l'instant. Pouvez-vous commenter à ce sujet, étant donné votre participation à des cliniques virtuelles? 1:04:05 Oui, en fait, c'est nouveau pour nous aussi et, jusqu'à présent, nous n'avons pas eu de clinique vidéo. Nous n'avons eu que des cliniques par téléphone. Il y a deux façons de procéder. La première consiste à examiner le cas à la fin, puis demander au résident de rappeler le patient, ou le rappeler vous-même. La deuxième façon consiste à tenir une conférence téléphonique, comme l'a fait un de mes enseignants hier. Le résident peut donc aller voir le patient, comme il le ferait normalement, puis à la fin, le patron se joint à la conversation et peut aussi s'adresser au patient. 1:04:35 Pensez-vous que les visites durent plus longtemps? Pour être honnête, je pense qu'il faut allouer un peu plus de temps que d'habitude, surtout s'il s'agit d'un examen physique. Normalement, je demanderais de montrer où son ventre fait mal. Il faut maintenant leur demander de décrire la douleur, ce qui est en fait un peu plus difficile, mais ce qui est bien selon moi, c'est que vous pouvez observer des choses, mais je pense qu'il faut savoir qu'il faut créer ce rapport et cette attente avec vos stagiaires. Je dois dire que la plupart des patients sont très reconnaissants que l'on prenne contact avec eux. 1:05:05 Je parle du point de vue clinique; je pense que les patients sont vraiment reconnaissants. Et je pense que les résidents doivent apprendre comment nous allons procéder, car cela pourrait se reproduire. 1:05:19 Andrew, puis-je aussi ajouter qu'en tant que rhumatologue, nous sommes tous en clinique virtuelle; 'ai fait de nombreuses cliniques virtuelles avec vidéo et je trouve qu'en effet, il faut plus de temps. 1:05:31 Il y a beaucoup de tri logistique mais, du point de vue pédagogique, c'est vraiment utile. Notre service de santé créée un groupe Enterprise Zoom, puis je me mets en sourdine pendant qu'ils font ce qu'ils ont à faire mais j'écoute ce qu'ils disent et pendant que je prépare le rapport du patient précédent, que je consulte les résultats de laboratoire, ils voient ce patient. Je peux les entendre interagir avec le résident et si j'ai besoin de voir un autre patient sur une autre session Zoom, je mets aussi la ligne en sourdine. Habituellement, le résident m'envoie un texto lorsqu'il est prêt. Je rétablis le son et je remets la vidéo en marche, puis nous nous retrouvons, le patient, le résident et moi. 1:06:15 C'est donc un peu délicat, mais c'est certainement possible et de nouvelles possibilités s'offrent à nous. 1:06:24 Très bien. Est-ce que l'un de nos autres panélistes souhaite parler de stratégies qui n'ont pas été mentionnées, ou qui concernent l'évaluation dans des cliniques virtuelles ou les échanges avec les stagiaires dans un environnement clinique virtuel? 1:06:43 Andrew, j'ai un commentaire; vous savez, ce sont toutes de bonnes idées. Je n'ai aucune expérience avec ce qui vient d'être présenté, 1:06:56 mais il faut peut-être s'assurer qu'au fur et à mesure que nous innovons et que nous nous adaptons, nous consultons les résidents et faisons un petit compte-rendu après coup, en dehors de l'évaluation. Juste pour savoir comment les choses se sont passées selon eux. Comment ils se sont sentis. Comment nous pourrions améliorer les choses. Pour montrer que nous sommes là, que nous tenons compte des expériences des résidents au cours des dernières semaines, que nous réalisons de grandes choses pour eux 1:07:24 parce qu'ils ont déjà été retirés de certaines tâches cliniques pour des raisons de sécurité. Beaucoup d'entre eux ont vraiment envie de prendre part à la discussion et de faire partie de la solution. Selon moi, le simple fait de les inviter à participer à la création de ces mesures d'adaptation pourrait donner des résultats très positifs. 1:07:53 Merci, c'est très bien. J'ai une question. J'ai remarqué que plusieurs personnes nous demandent si elles pourront avoir accès à l'enregistrement, aux diapos ainsi qu'à un résumé. Je voulais donc en parler brièvement. Nous allons certainement offrir un enregistrement du webinaire, avec les diapos présentées à l'écran et les voix hors champ. Nous n'avons pas encore l'autorisation de partager le document PowerPoint 1:08:20 mais nous pourrions explorer la possibilité d'offrir un sommaire. Je ne pense pas pouvoir répondre à cette question pour l'instant. Andrew et moi n'avons pas discuté de la création d'un résumé. Mais nous pouvons certainement partager l'enregistrement du webinaire. 1:08:43 Parfait, merci. J'ai remarqué une série de questions dont la réponse ne sera pas claire, je sais, mais je crois que nos panélistes pourraient nous faire part de leurs réflexions. Il faut trouver un équilibre entre les risques que courent les stagiaires et l'utilisation des EPI, et le besoin d'offrir des activités d'apprentissage. Je voudrais citer en exemple la médecine d'urgence 1:09:12 et l'anesthésie, j'imagine. Je suis urgentologue. Il a été question des voies respiratoires et la réaction initiale était de confier ces cas aux enseignants, puis on a reconnu que si la situation dure trois, quatre, cinq mois, des stagiaires diplômés n'auront pas eu d'expérience dans le contrôle des voies respiratoires depuis un certain temps et il faudra revoir notre stratégie. Toutes les spécialités vivent probablement une situation similaire, où il faut établir un équilibre entre le risque et le besoin d'offrir des activités pédagogiques. 1:09:42 Je me demande si la question se pose aux autres panélistes. Si quelqu'un veut se prononcer au sujet des risques dans sa spécialité, selon son point de vue. Oui, c'est Markku. Je peux commenter du point de vue de la chirurgie orthopédique. Les soins aux patients demeurent la priorité. À l'hôpital Sunnybrook, les stocks d'EPI couvriront une semaine, puis nous en manquerons. Nous n'avons plus d'écrans faciaux, nous décontaminons des masques N95. 1:10:13 La situation est inquiétante et le nombre de personnes en attente de résultats de tests continue d'augmenter. Nous présumonsque la plupart des cas de chirurgie sont atteints, surtout en traumatologie, jusqu'à preuve du contraire. Le délai est de 48 heures pour obtenir les résultats. C'est donc un environnement précaire. 1:10:29 Nous devons donc offrir des soins adéquats aux patients, et utiliser ce que nous avons jusqu'au réapprovisionnement. Je crois que les résidents acceptent le fait qu'il s'agit d'une situation complexe où deux enseignants ou un enseignant et un membre du personnel peuvent faire le travail plus rapidement. La plupart d'entre eux semblent assez bien accepter le fait qu'ils ne sont pas présents en raison de l'épidémie. C'est une situation de crise et, encore une fois, si elle continue, nous devons nous réunir avec les comités de compétence pour déterminer si, dans les circonstances, nous avons suffisamment d'information et si les stagiaires ont suffisamment d'expérience pour passer à la prochaine étape de leur formation. 1:11:11 Heureusement pour les résidents de cinquième année qui devaient passer l'examen cette année, ils étaient déjà en pause pour étudier. Il n'y aura donc aucun problème à leur faire passer cette année universitaire. Ils vont très bien. La question est de savoir comment nous nous y prendrons avec les autres stagiaires quant à leur progression. Nous devons surtout penser à eux, évaluer les circonstances et voir comment les choses se passent. 1:11:31 Je crains que nos problèmes vont se poursuivre pendant plusieurs mois, selon le modèle; nous en sommes à la troisième ou quatrième semaine de crise et nous allons acquérir plus d'expérience au fil du temps, mais les soins aux patients demeurent la priorité, en s'assurant que nous ne manquons pas d'EPI à l'avenir, et en assurant un juste équilibre avec la formation, autant que possible. Encore une fois, certains patients ne sont vraisemblablement pas atteints de la COVID-19 si le test de dépistage est négatif. Nous pouvons évidemment confier ces cas aux résidents et aux moniteurs sans problème. Il faut surtout faire attention de ne pas nuire à la santé publique. 1:12:09 Merci, Markku. D'autres commentaires, Karen. Du point de vue de la gastroentérologie, nous avons en fait revu notre politique de sécurité et nous avons convenu de retirer les cas suspects ou confirmés des résidents. Je crois que nos résidents acceptent aussi cette décision. 1:12:24 Nous en avons parlé dans l'Ouest canadien, j'en ai même parlé avec des représentants de partout au pays. Les patients qui seront confiés aux résidents ne seront pas tous atteints de la COVID-19 parce que de nombreux cas de gastroentérologie n'ont rien à voir avec le virus, mais ils peuvent être considérés urgents en ce moment. Ils sont donc limités à ces cas pour le moment, notamment en raison de la pénurie d'EPI, mais aussi parce qu'un résident met généralement plus de temps à réaliser une gastroscopie ou une coloscopie. C'est pourquoi nous avons décidé de limiter la durée d'exposition aux interventions. Heureusement, 1:13:03 nous assurons un très bon suivi des endoscopies dans notre programme, et nous pouvons donc en discuter avec le comité de compétence. 1:13:14 Andrew, oui, bien sûr, j'aimerais aussi faire quelques commentaires au sujet de notre département. Nous avons réuni tous les chefs des centres pour discuter de ce que nous considérons être une demande raisonnable pour l'évaluation des voies respiratoires, 1:13:34 et vous pourriez facilement établir des lignes directrices, comme l'a mentionné Markku. Les résidents ne sont pas particulièrement intéressés à se retrouver en première ligne et c'est raisonnable. Ils sont encore un peu inquiets, mais je pense qu'il y aura un retour du balancier et à mesure que nous en apprendrons plus sur le virus et sa propagation, ils voudront progressivement revenir. Le vrai problème se pose lorsqu'il faut intervenir auprès d'un patient en détresse respiratoire aiguë, et qu'on ne peut attendre l'arrivée d'un enseignant; le premier arrivé sur les lieux doit intervenir. Beaucoup d'autres questions se posent, et cela entraîne beaucoup de préoccupations, mais la chose la plus raisonnable selon moi, c'est d'être bien protégé. Ils doivent être bien formés et supervisés, et il faut s'assurer qu'ils portent l'équipement de la bonne façon. 1:14:38 Merci beaucoup Paolo. Anna, avez-vous une question? Oui, j'ai une autre question. Nous avons reçu certaines questions que j'aimerais en quelque sorte résumer et adresser à Damon. Pouvez-vous nous fournir des exemples au sujet des grands programmes? 1:14:57 Nous avons eu quelques exemples au sujet des petits et moyens programmes, mais pouvez-vous nous dire comment les grands programmes ont adapté le modèle de la CPC à la situation? J'aurais aimé que David Taylor soit présent; il dirige notre programme de médecine interne et, au cours des deux derniers jours, 1:15:20 j'ai appris qu'ils ont réalisé des choses étonnantes. Beaucoup connaissent la médecine interne et savent qu'ils travaillent avec différentes équipes de différents services à l'hôpital. Ils ont réévalué ces équipes et ont réaffecté les gens ou créé de petits groupes qui travaillent ensemble sur le plan clinique et se réunissent à des demi-journées universitaires, sachant qu'ils ne peuvent pas tous y assister et que les plateformes virtuelles ne sont pas parfaites, et ils développent un genre d'activité d'apprentissage par cas ponctuelle. Il s'agit de cas liés à la COVID-19 et d'autres cas d'actualité, que les résidents peuvent examiner en petits groupes pendant une demi-journée la veille, pour ensuite les présenter aux enseignants le lendemain. Voilà donc quelques changements qu'ils ont apportés à leur demi-journée; pour connaître les détails, il faudrait demander à David mais cela fonctionne vraiment 1:16:28 Bien. Cela répond à un besoin dans les circonstances, et je pense que certains grands programmes se penchent aussi sur le fonctionnement des équipes. Karen, Markku et Paolo ont également parlé de limiter les interactions. Je dirais donc que le concept des équipes interprofessionnelles un peu plus petites, plus ciblées, avec une surveillance accrue 1:17:07 semble bien fonctionner, donc voilà l'idée qui me vient en tête pour les plus grands programmes. Pour la médecine familiale, je ne peux me prononcer au sujet des modifications apportées dans les centres de médecine familiale que nous avons ici à Queen's. 1:17:29 Merci Damon. 1:17:30 Nous avons reçu quelques questions à savoir ce qu'il faut faire si nous ne pouvons changer l'horaire des stages, et j'aimerais savoir ce qu'en pensent nos panélistes. Qu'arrive-t-il si l'horaire des stages ne nous permet pas d'être aussi flexibles qu'on le souhaiterait? Pouvez-vous partager des idées au-delà de ce que vous avez mentionné au sujet de la collaboration avec d'autres services ou intervenants pour assurer la flexibilité des horaires? Étant donné que ma caméra est encore allumée, j'aimerais dire que nous tenons des réunions hebdomadaires avec notre comité de formation médicale postdoctorale, qui se réunit en même temps nous. Cela a permis au vice-doyen aux études postdoctorales, Ross Walker, d'animer les échanges et d'aborder des difficultés auxquels un programme ou quelques programmes ont été confrontés, ou des problèmes concrets 1:18:27 pour lesquels le directeur de programme a de la difficulté à trouver une solution, et s'il faut demander l'aide d'autres dirigeants de l'hôpital. L'accès à un forum ou un espace où les dirigeants peuvent s'informer et s'adresser à d'autres dirigeants augmente les possibilités et la flexibilité. Cette formule fonctionne bien pour nous, ces rencontres virtuelles chaque semaine nous permettent de 1:18:57 discuter des défis que nous avons du mal à résoudre par nous-mêmes. 1:19:09 Comme je l'ai mentionné dans ma présentation, c'est vers cela que nous nous tournons et je pense qu'il faut juste commencer tôt et avoir une bonne communication avec le bureau des études postdoctorales, comme le dit toujours le Dr Bandiera : appelez souvent et appelez vite! 1:19:28 Je pense qu'il est important de le faire, de demander de l'aide, mais aussi d'être créatif. On pourrait offrir ces expériences autrement, avec des modules d'apprentissage en ligne par exemple. Pour le stage de pathologie qui dure deux semaines, il n'est peut-être pas nécessaire d'être sur place. Vous pourriez le faire durant vos temps libres. 1:19:52 C'est encore Markku. Oui, nous avons eu la chance de collaborer avec notre bureau des études postdoctorales et notre doyen, et nous avons pu essayer différentes choses dans les circonstances. Je comprends leurs préoccupations et ils sont flexibles, notamment pour le stage sur la chirurgie orthopédique COVID-19. Ils nous ont donné le feu vert, nous crééerons une FECF, des objectifs pédagogiques et des évaluations, puis nous irons de l'avant et nous ferons de notre mieux dans cette situation difficile. 1:20:25 Ici Karen. Nous n'avons pas encore eu beaucoup de conflits jusqu'à maintenant, mais je m'attends à ce que tout le monde tentera d'ajuster les horaires pour répondre aux besoins des résidents une fois la crise de la COVID-19 terminée. Je pense donc qu'il faut bien communiquer et planifier, autant que possible. Nous ne savons pas encore quand les choses vont revenir à la normale, et donc jusqu'où peut-on pousser ces expériences. C'est pourquoi nous devons innover maintenant 1:20:53 et réfléchir à une façon de leur offrir ces expériences de formation, pour qu'ils puissent acquérir des compétences pendant cette période. 1:21:06 Merci à tous. 1:21:09 Nous avons reçu une question d'un résident. Merci Olivier, ce sujet a été évoqué, mais peut-être pourrions-nous demander des détails supplémentaires, à savoir s'il faut autant se fier à la réalisation des APC pour déterminer le degré de compétence, ou s'il faut plutôt se fier à l'impression générale que les gens ont été confrontés à certaines des difficultés énoncées dans les APC. 1:21:37 Jason Frank a déjà fait quelques commentaires à ce sujet, mais je me demande si quelqu'un serait prêt à partager un peu plus son point de vue sur l'évaluation des APC en ce moment. 1:21:59 Selon moi, les évaluations d'APC demeurent l'une des meilleures solutions en ce moment; même si les chiffres ne sont pas importants, il faut documenter les expériences et les compétences requises. Nous ne voulons pas retourner à l'ancienne configuration et c'est l'une des raisons pour lesquelles nous nous en sommes éloignés. 1:22:21 Je suis d'accord avec le fait que l'on a beau dire aux gens qu'ils doivent réaliser 10 APC et qu'ils n'en réalisent que six ou sept. C'est déjà mieux que ce que qu'ils pouvaient accomplir avant, alors que ce n'était qu'une impression. Je pense donc que cela est utile parce que si les résidents ne vont pas bien, nous devons leur offrir plus d'expériences afin qu'ils puissent acquérir des compétences. Je pense donc que les APC sont utiles en ce moment car elles permettent d'organiser l'évaluation. Je poursuis donc en ce sens. 1:22:52 Je me permets d'ajouter que tout dépend du contexte, de la spécialité. En tant qu'urgentologues dans la crise de COVID-19, nous avons beaucoup d'options pour permettre aux résidents de réaliser des APC; certains programmes auront des APC plus pertinentes et d'autres programmes auront des APC qui ne semblent pas pertinentes mais qui permettent d'évaluer les rôles transversaux 1:23:22 ou différentes interactions dans un milieu de soins auxquels les résidents n'ont pas été exposés, et pour nous, les éducateurs, c'est une bonne occasion d'enrichir nos expériences de rétroaction et d'évaluation. Encore une fois, ma dernière diapo résume bien tout cela. 1:23:52 Une de nos résidentes vient de dire qu'elle n'aurait jamais pu imaginer tout ce qu'elle a appris au cours des deux premières semaines, une riche source de données à transmettre au comité de compétence en plus des évaluations d'APC et tout le reste. 1:24:18 Quelqu'un d'autre souhaite-t-il s'exprimer à ce sujet ou je passe à la prochaine question? 1:24:24 D'accord. Nous avons reçu beaucoup de questions et de commentaires sur les différentes stratégies d'évaluation et beaucoup de gens ont parlé de la simulation qui suivra la pandémie. Certains auront du rattrapage à faire; d'autres ont parlé de solutions de rechange à la simulation. J'aimerais donc résumer quelques questions et commentaires vraiment utiles. Certains ont parlé d'examens oraux virtuels, par téléphone ou à distance 1:24:52 au lieu des simulations ou des rencontres cliniques qu'il ne serait pas possible d'offrir. Nous avons reçu beaucoup de suggestions intéressantes que je vais tenter de résumer. L'une d'elles vient du Département de chirurgie de l'Université d'Ottawa, qui organise désormais une réunion Zoom avec tous les directeurs de programmes de chirurgie du département, afin qu'ils puissent partager les expériences et les innovations qui fonctionnent. Nous cherchons d'autres moyens de collaborer et de partager. 1:25:24 Certains enseignants nous rappellent que le modèle de la CPC ne s'applique pas à tous les résidents. Bien sûr, ce webinaire se concentre vraiment sur la CPC en période de pandémie de COVID-19, et nous reconnaissons que tous les résidents font face à différents problèmes; nous ne l'oublions pas. Y a-t-il autre chose? J'essaie de faire un tour rapide pour m'assurer que je n'oublie aucune suggestion géniale. 1:25:52 Il y en a tellement, j'ai peur d'en avoir manqué et je m'en excuse si vous en avez formulé et que je ne l'ai pas mentionné. 1:26:00 Nous avons beaucoup de contenu et je pense que, compte tenu du temps, il faudra peut-être clore la séance. Je passerai en revue toutes les questions posées. Nous n'avons pas pu répondre à certaines qui, selon moi, méritent d'être abordées. Nous répondrons directement aux personnes qui les ont envoyées. Alors pour conclure, passons à la diapo suivante. 1:26:28 Je tiens à remercier tous les participants. Quelque 300-350 personnes ont assisté à ce webinaire, malgré cette période difficile, et c'est très motivant de voir à quel point les leaders de la formation postdoctorale se mobilisent partout au pays. Merci à nos présentateurs. Vous avez fait un travail formidable en présentant vos points de vue et vos réponses, et j'espère que les participants 1:26:56 ont été rassurés grâce aux idées, aux points de vue et aux suggestions présentés pour aller de l'avant avec notre important mandat éducatif. Nous avons créé un code QR; nous vous invitons à vous prononcer sur le webinaire et à nous proposer des sujets que nous devrions aborder rapidement. Nous serions très heureux de les connaître. 1:27:22 Encore une fois, merci aux panélistes qui nous ont consacré du temps, et merci aux participants. Un dernier mot Anna? Je voudrais encore une fois remercier tous nos panélistes Jason, Karen, Paolo, Markku, Damon et tous les membres de l'auditoire. Nous ne vous avons pas donné beaucoup de temps pour ajouter cette séance à votre emploi du temps et nous apprécions votre engagement, votre solidarité, vos suggestions et vos efforts pour trouver des solutions. 1:27:53 C'était le mot de la fin. Merci beaucoup à tous. 1:28:01 Merci beaucoup.