Normes d’agrément des activités de DPC
pour le programme de Maintien du certificat
(MDC)
Programmes d’autoévaluation (section 3)
Janvier 2018 (v.2)
Aux fins d’agrément, une activité du programme de Maintien du certificat (MDC) du
Collège royal doit avoir été élaborée individuellement ou conjointement par un
organisme de médecins en fonction de la conformité aux normes suivantes d’agrément
des activités, et avoir été examinée par un prestataire agréé de DPC du Collège royal.
Partie A : Normes administratives
Norme administrative 1 : Tous les programmes d’autoévaluation agréés doivent avoir été
élaborés individuellement ou conjointement par un organisme de médecins, tel que défini par
le Collège royal.
Un organisme de médecins est un groupe de professionnels de la santé à but non
lucratif doté d’une structure de gouvernance officielle qui rend compte, entre autres,
aux médecins spécialistes qui en sont membres, et qui leur offre divers services
(développement professionnel continu, prestation de soins de santé, recherche).
Cette définition s’applique aux groupes suivants (sans s’y limiter):
- Les facultés de médecine
- Les services ou divisions d’établissements hospitaliers
- Les sociétés médicales
- Les associations médicales
- Les académies médicales
- Les organisations de médecins chercheurs
- Les autorités sanitaires indépendantes des organismes gouvernementaux
Il incombe aux organismes de médecins qui élaborent individuellement ou conjointement une
activité de DPC de s’assurer que toutes les normes d’agrément sont respectées et de
soumettre la demande à un prestataire agréé de DPC.
Remarque: Les prestataires agréés de DPC sont autorisés à approuver les activités
de DPC qu’ils ont élaborées individuellement ou conjointement.
Types d’organisations qui ne sont pas considérées comme des organismes de médecins :
- Les sociétés pharmaceutiques ou leurs groupes consultatifs
- Les fabricants de fournitures médicales et chirurgicales
- Les organisations de défense des droits des patients axées sur une maladie (p. ex.,
l’Association canadienne du diabète)
- Les ministères ou organismes gouvernementaux (p. ex., Santé Canada, l’Agence
de la santé publique du Canada)
- L’industrie de la santé (p. ex., les sociétés pharmaceutiques, les fabricants
d’équipements médicaux)
- Les entreprises de formation ou de communication médicale (p. ex., CME Inc.)
- Les entreprises d’éducation médicale en ligne à but lucratif, maisons d’édition ou
sociétés de simulation (p. ex., Medscape, CAE)
- Petits nombres de médecins travaillant en collaboration à la conception de programmes
éducatifs.
- Toute autre organisation ou entreprise à but lucratif
Toutes les activités doivent être élaborées par un comité de planification représentatif du
public cible.
Voir la partie C — Normes éthiques pour prendre connaissance d’exigences additionnelles
s’appliquant au comité de planification.
Norme administrative 2 : Tous les programmes d’autoévaluation agréés doivent être
associés à un CPS représentatif du public cible.
Toutes les activités de DPC doivent être élaborées par un CPS représentatif du public cible.
Celui-ci se définit comme un groupe précis de médecins, de spécialistes ou d’autres
professionnels de la santé auquel s’adressera l’activité de DPC. Il y a donc lieu de déterminer
le public cible dès la création de l’activité de DPC afin que le CPS puisse être constitué en
conséquence.
Toutes les activités de DPC doivent être élaborées par un CPS représentatif du public cible.
Celui-ci se définit comme un groupe précis de médecins, de spécialistes ou d’autres
professionnels de la santé auquel s’adressera l’activité de DPC. Il y a donc lieu de déterminer
le public cible dès la création de l’activité de DPC afin que le CPS puisse être constitué en
conséquence.
Le CPS assume l’entière responsabilité des éléments de programme suivants :
- Définition des besoins éducatifs du public cible
- Élaboration des objectifs éducatifs
- Sélection des méthodes d’enseignement
- Sélection des personnes (membres du comité de planification, enseignants) ou des organisations en mesure de contrôler le contenu
- Élaboration et présentation du contenu
- Évaluation des résultats
Norme administrative 3 : Il est obligatoire de maintenir un registre des présences pour
toutes les activités d’autoévaluation et de délivrer aux participants un certificat de
participation qui comprend l’énoncé d’agrément approprié.
Un certificat de participation ou une confirmation écrite portant la signature du président du
comité de planification doit être remis aux participants de tous les programmes
d’autoévaluation agréés. Les éléments suivants doivent figurer sur le certificat :
- Le titre de l’activité.
- Le nom de l’organisme de médecins responsable de l’activité (et du cocréateur, le cas
échéant).
- La ou les dates de l’activité.
- Le lieu de l’activité (c.-à-d. la ville, le pays, activité offerte sur le Web).
- Le nombre total d’heures pour lesquelles l’activité est agréée
- Le nombre d’heures durant lesquelles la personne inscrite a participé à l’activité (ou un espace à cet effet que les participants pourront remplir eux-mêmes).
- Tous les énoncés d’agrément applicables (et l’énoncé d’élaboration conjointe, le cas échéant).
L’organisme de médecins assume la responsabilité de tenir un registre des présences pendant cinq ans.
Partie B : Normes éducatives
Norme éducative 1 : Les programmes d’autoévaluation doivent être planifiés en vue de
répondre aux besoins connus du public cible concernant un domaine, thème ou problème
précis.
Les programmes d’autoévaluation doivent se fonder sur une évaluation des besoins du public
cible qui doit être réalisée pour cerner les domaines de connaissances, les habiletés, les
résultats en matière de santé ou de rendement que l’activité de DPC vise à aborder ou
améliorer. L’évaluation de besoins déterminera les besoins perçus ou non perçus, et servira à
éclairer :
- l’élaboration des objectifs d’apprentissage
- la détermination des méthodes pédagogiques ou de prestation appropriées
- le choix du contenu éducatif pertinent
- la création de stratégies d’évaluation.
Norme éducative 2 : Des objectifs d’apprentissage répondant aux besoins connus du public
cible doivent être créés pour le programme dans son ensemble et chaque module individuel,
le cas échéant. Ces objectifs doivent être indiqués dans la brochure qui décrit le programme
de l’activité ou dans la documentation distribuée aux participants.
Les besoins en matière d’apprentissage du public cible devraient servir de
fondements pour la création/l’élaboration des objectifs d’apprentissage.
Les objectifs d’apprentissage doivent clairement décrire le but de l’activité éducative, être
rédigés selon la perspective de l’apprenant et indiquer les résultats attendus déterminés
par le CPS et les enseignants.
Les objectifs d’apprentissage doivent être mis à la disposition des participants avant
l’activité et intégrés dans la stratégie d’évaluation (voir la norme éducative 6). Le comité
de planification doit veiller à ce que les méthodes pédagogiques et de prestation choisies
correspondent aux besoins cernés, de même qu’aux objectifs d’apprentissage énoncés.
Norme éducative 3 : Les programmes d’autoévaluation doivent décrire les méthodes
permettant aux participants de démontrer ou d’appliquer leurs connaissances, leurs
compétences, leur jugement clinique ou leur comportement.
Les programmes d’autoévaluation doivent offrir aux participants une stratégie permettant
d’évaluer leurs connaissances, leurs compétences, leur comportement et leur jugement
clinique par rapport aux preuves scientifiques établies (lignes directrices de pratique clinique,
méta-analyse, revue systématique, etc.).
Tous les programmes d’autoévaluation doivent utiliser des méthodes qui permettent aux
participants de démontrer ces capacités dans les domaines clés du sujet, du thème ou du
problème. Le format choisi doit également donner aux participants l’occasion de situer leurs
connaissances ou leurs compétences en regard des preuves scientifiques actuelles.
Norme éducative 4 : Tous les programmes d’autoévaluation agréés doivent fournir aux
participants un processus pour consigner leurs réponses aux questions d’évaluation.
Le fait de consigner les réponses à chaque question d’évaluation aux participants d’obtenir
un résumé de leurs réponses à chacune des questions.
Norme éducative 5 : Le programme d’autoévaluation doit permettre aux participants
d’obtenir une rétroaction détaillée sur leur rendement afin de cerner les domaines à améliorer
dans le cadre d’un plan d’apprentissage futur.
L’obtention d’une rétroaction lorsque les réponses sont justes ou non avec des références
permet aux spécialistes de déterminer si des aspects importants de leurs connaissances, de
leurs compétences, de leur jugement clinique ou de leur comportement doivent être
améliorés en se livrant à d’autres activités d’apprentissage.
Il serait également opportun d’inclure un outil de pratique réflexive qui fournirait aux
participants la possibilité de consigner :
- Les connaissances ou compétences qui sont à jour ou cohérentes par rapport aux
données probantes actuelles
- Toute faiblesse ou possibilité d’amélioration cernée pour un apprentissage futur
- Les stratégies d’apprentissage qui seront utilisées pour remédier à ces faiblesses
- Un plan d’action ou un engagement à surmonter tout obstacle prévu
Norme éducative 6 : Le programme d’autoévaluation doit offrir aux participants l’occasion
d’évaluer le programme dans son ensemble et chaque module individuel, le cas échéant.
Les programmes d’autoévaluation agréés doivent offrir aux participants l’occasion d’évaluer
chaque module individuel, le cas échéant, et l’activité de DPC dans son ensemble. Le
système d’évaluation doit permettre aux participants de déterminer :
- Si les objectifs d’apprentissage de la séance ou de l’ensemble de l’activité de DPC
ont été atteints
- Si le contenu de l’activité de DPC était pertinent et dépourvu de parti pris
commercial ou autre biais
- Les répercussions possibles de l’activité de DPC sur leur pratique
D’autres stratégies d’évaluation peuvent inclure les éléments suivants :
- L’intention d’évaluer l’amélioration du rendement auprès des patients
- L’intention d’évaluer l’amélioration des soins de santé
- La façon dont les participants recevront une rétroaction sur leur apprentissage
Partie C : Normes éthiques
Remarque: Toutes les activités agréées après le 1er janvier 2018 doivent être conformes à la
Norme nationale pour le soutien des activités de DPC agréées. La norme nationale s’applique
dans toutes les situations où un soutien financier ou en nature est accepté pour contribuer au
développement, à la prestation et à l’évaluation d’activités de DPC agréées.
Chacune des normes éthiques suivantes, dérivées du document Les interactions avec l’industrie :
lignes directrices pour les médecins (2007) de l’AMC et de la Norme nationale pour le soutien des
activités de DPC agréées, doivent être respectées dans l’élaboration d’activités d’apprentissage
collectif et leur approbation au titre de la section 1 du programme de MDC.
Condition 1 : Indépendance
Cette condition de la norme décrit l’adhésion, les rôles, les responsabilités et le pouvoir
décisionnel d’un CPS.
- 1 Chaque activité de DPC agréée doit être assortie d’un CPS formé de représentants du
public cible. Il est responsable de l’ensemble des décisions, tel que précisé dans la
norme.
- 2 Le CPS peut prendre en compte les données ou les conseils d’autres sources, mais il
doit s’assurer qu’il a le contrôle exclusif du processus décisionnel lié aux éléments
suivants du programme de DPC :
- définition des besoins éducatifs du public cible;
- établissement des objectifs d’apprentissage;
- sélection des méthodes d’enseignement;
- sélection des conférenciers, des modérateurs, des animateurs et des auteurs;
- élaboration et présentation du contenu;
- évaluation des résultats.
- 3 Les représentants d’un commanditaire ou d’une organisation recrutée par un
commanditaire ne peuvent pas participer aux décisions du programme de DPC relatives
aux éléments a) à f) de la sous-condition 1.2.
Condition 2 : Élaboration du contenu
Cette condition de la norme décrit les processus et les exigences pour les membres du CPS et
les conférenciers en matière d’élaboration de contenu qui répond aux besoins du public cible.
- 1 Le CPS doit avoir mis en place des mécanismes pour soutenir l’élaboration du contenu ou
des ressources qui répondent aux besoins éducatifs déterminés du public cible. Les
intérêts spécifiques de tout commanditaire ne doivent en aucune manière avoir une
influence directe ou indirecte sur le contenu ou les ressources d’une activité de DPC
agréée.
- 2 Un processus doit être mis en place pour s’assurer que les personnes responsables de
l’élaboration ou de la prestation du contenu sont informées des éléments suivants :
- les besoins connus du public cible;
- la nécessité de garantir que le contenu ou les ressources présentées brossent (le
cas échéant) un tableau équilibré de toutes les options pertinentes relatives au
domaine du contenu;
- les objectifs d’apprentissage attendus de l’activité;
- la description des options thérapeutiques doit utiliser les noms génériques (ou le
nom commercial et le nom générique) et ne doit pas refléter l’exclusivité et le nom
d’une marque.
- 3 Le CPS doit prévoir un processus permettant d’obtenir l’évaluation des participants quant à
l’activité de DPC, à savoir si:
- les objectifs d’apprentissage ont été satisfaits;
- les notions présentées étaient équilibrées;
- une quelconque partialité était présente.
- 4 Le CPS doit avoir en place un processus pour traiter des activités de DPC non conformes à
la présente norme.
Condition 3 : Conflit d’intérêts
Cette condition de la norme décrit les processus et les exigences pour consigner et gérer les
conflits d’intérêts et les divulguer aux participants.
- 1 Tous les membres du CPS, les conférenciers, les modérateurs, les animateurs et les
auteurs doivent fournir au CPS une description écrite de toutes leurs relations avec des
organisations à but lucratif ou sans but lucratif au cours des deux années précédentes y
compris (sans s’y limiter) :
- les paiements directs comme les honoraires;
- la participation à des comités consultatifs ou des bureaux de conférenciers;
- le financement de subventions ou d’essais cliniques
- les brevets sur un médicament, un produit ou un appareil;
- tout autre investissement ou toute autre relation qu’un participant raisonnable et
bien informé pourrait considérer comme un facteur d’influence sur le contenu de
l’activité éducative.
- 2 Le CPS est tenu d’examiner les relations financières divulguées par les conférenciers, les
modérateurs, les animateurs et les auteurs avant le début de l’activité de DPC afin de
déterminer si des mesures de gestion conflits d’intérêts réels ou potentiels s’imposent. Le
CPS doit avoir en place des procédures à respecter s’il est informé d’un conflit d’intérêts
durant l’activité de DPC ou avant celle-ci.
- 3 Tous les membres du CPS, les conférenciers, les modérateurs, les animateurs et les
auteurs doivent indiquer aux participants leurs relations conformément à la souscondition 3.1.
- 4 Toute personne n’ayant pas divulgué ses relations conformément aux sous-conditions 3.1
et 3.3 ne peut pas participer à titre de membre du CPS, de conférencier, de modérateur,
d’animateur ou d’auteur d’une activité de DPC agréée.
Condition 4 : Obtention d’un soutien financier ou en nature
Cette condition de la norme décrit les exigences que doit remplir CPS qui reçoit et distribue
un soutien financier ou en nature.
- 1 Le CPS est responsable de l’obtention de tout soutien financier ou en nature pour
l’élaboration d’une activité de DPC agréée.
- 2 Le CPS ne peut pas être forcé d’accepter les conseils d’un commanditaire comme
condition préalable à un soutien financier ou en nature. Les intérêts particuliers à tout
commanditaire ne doivent avoir aucune influence directe ou indirecte sur les aspects
du développement, de la prestation ou de l’évaluation d’une activité de DPC agréée.
- 3 Les conditions et les fins associées aux commandites doivent être
documentées par écrit au moyen d’une entente signée par le CPS et le
commanditaire.
- 4 Le CPS peut assumer ou déléguer à un tiers les dépenses liées aux déplacements, à
l’hébergement et aux autres frais déboursés ou honoraires versés aux membres du CPS,
aux conférenciers, aux modérateurs, aux animateurs ou aux auteurs. Le CPS doit
approuver les paiements délégués et assumer l’entière responsabilité de ces paiements.
- 5 Les participants (qui ne sont pas membres du CPS, conférenciers, modérateurs,
animateurs ou auteurs) ne peuvent pas accepter des paiements ou des subventions
pour leurs déplacements, leur hébergement ou tous les autres frais déboursés pour leur
participation à une activité de DPC agréée. La présente clause n’exclut pas les
participants qui demandent et reçoivent une compensation d’un programme de
résidence, d’un employeur ou de fonds d’aide provinciale au DPC, même si les activités
auxquelles ils participent ont été financées par ces sources.
- 6 L’organisation prestataire de DPC, le commanditaire ou toute organisation recrutée par
un commanditaire ne peut payer ou subventionner les déplacements, l’hébergement ou
tous les autres frais déboursés pour les conjoints, partenaires ou autres membres de la
famille des membres du CPS, conférenciers, modérateurs, animateurs, auteurs ou
participants.
- 7 Les activités sociales greffées aux activités de DPC agréées ne peuvent avoir lieu à
un moment ou un endroit qui pourrait rivaliser avec les activités de DPC agréées, ou
leur nuire.
- 8 Sur demande, le CPS doit également indiquer comment le soutien financier ou en
nature a été utilisé pour appuyer l’activité de DPC agréée.
- 9 Le CPS est tenu de s’assurer que ses interactions avec les commanditaires
respectent les normes professionnelles et juridiques comme la protection des
renseignements personnels, la confidentialité, les droits d’auteur et les dispositions
contractuelles.
Condition 5 : Reconnaissance d’un soutien financier ou en nature
Cette condition de la norme décrit les exigences que doit remplir le CPS relativement à la
reconnaissance d’un soutien financier ou en nature.
- 1 Le CPS doit reconnaître le soutien financier ou en nature fourni par des commanditaires
d’activités de DPC et le divulguer aux participants sur une page dédiée aux
commanditaires, distincte du contenu de formation.
- 2 Au-delà de l’énoncé de reconnaissance standard pour le soutien financier ou en nature,
décrit à la sous-condition 5.1, l’établissement d’un lien entre le nom d’un
commanditaire (ou d’autres stratégies de marque) et une séance éducative spécifique
ou une section d’un programme éducatif d’une activité d’apprentissage collectif agréée
est interdit.
Condition 6 : Gestion de la promotion commerciale
Cette condition de la norme définit les exigences relatives aux produits présentés et les types
de ressources qui peuvent être présentées ou non.
Element 6: Managing Commercial Promotion
This section defines the requirements related to exhibits and the types of materials that can and
cannot be displayed.
- 1 Les annonces, documents promotionnels ou stratégies de marque propres à un
produit sont interdits dans, sur ou à proximité :
- de toute ressource éducative ou présentation ou de tout résumé ou
document utilisé dans le cadre d’une activité de DPC agréée;
- des ordres du jour des activités, de programmes ou de calendrier d’événements
(préliminaires et définitifs);
- des pages Web ou médias électroniques contenant des ressources éducatives.
- 2 Les annonces, documents promotionnels ou stratégies de marque propres à un produit
ne peuvent pas être inclus sur ou apparaître à des endroits où les séances de DPC
agréées ont lieu (p. ex., salles de conférence, salles de discussion en petit groupe)
immédiatement avant, pendant ou immédiatement après une activité de DPC agréée.
- 3 Les expositions ou annonces commerciales doivent être présentées dans un endroit
clairement et complètement différent de celui prévu pour les activités de DPC agréées.
- 4 Un exposant ou un publicitaire ne peut pas exiger du CPS d’accepter des conseils
concernant le développement, la prestation ou l’évaluation d’activités de DPC comme
condition de l’exposition ou de la publicité. Les intérêts spécifiques de tout exposant ou
publicitaire ne doivent avoir aucune influence directe ou indirecte sur quelque aspect du
développement, de la prestation ou de l’évaluation de l’activité de DPC que ce soit.
- 5 Toute incitation associée à une activité de DPC agréée fournie à des participants doit
être approuvée par le CPS.
Condition 7 : Activités de DPC non agréées
Cette condition de la norme définit les rôles et les responsabilités du CPS relativement aux
activités de DPC non agréées.
- 1 Le CPS doit s’assurer que les activités de DPC non agréées ont lieu à un moment et un
endroit qui ne nuisent pas aux activités de DPC agréées.
- 2 Les activités de DPC non agréées ne peuvent pas être mentionnées dans les calendriers
(préliminaires ou définitifs)
Autres ressources
Processus D’agrément
- Consulter les normes d’agrément du DPC.
- Communiquer avec un prestataire agréé de DPC du Collège royal pour obtenir
les formulaires et les renseignements appropriés (politiques, procédure et frais)
relatifs à l’examen et à l’agrément du programme. (Se reporter au Répertoire
des prestataires agréés de DPC accessible à l’aide de l’hyperlien ci-dessous).
- Une fois l’activité agréée, les certificats de participation et le matériel
promotionnel de l’activité peuvent être mis à jour de façon à inclure
l’énoncé d’agrément applicable.
Hyperliens Utiles